Un esprit pionnier et une passion pour l’innovation.
Pour un avenir placé sous le signe de la durabilité.

Un travail de nuit qui en vaut la peine

SMA Sunbelt rassemble des collaborateurs de dix nationalités différentes. Ensemble, nous travaillons à la mise en place d’un approvisionnement énergétique stable et durable même dans des régions particulièrement reculées. L’une de ces régions a été l’île de Tetiaroa, dans le Pacifique Sud, autrefois refuge de la légende hollywoodienne Marlon Brando. Les défis à relever y étaient particulièrement importants : il s’agissait de doubler la puissance d’un système hybride photovoltaïque-diesel existant et de l’équiper d’un système de stockage à batterie. Nous devions également mettre en œuvre pour la première fois un procédé permettant de démarrer l’ensemble du réseau électrique public de l’île à partir du système à batterie. Les essais devaient être réalisés la nuit, car nous ne pouvions évidemment pas paralyser l’île entière avec nos simulations de pannes de courant. Lorsque, dans l’obscurité totale, les lumières se sont rallumées, nous prouvant que notre système fonctionnait, nous avons tous eu la chair de poule. J’éprouve toujours un immense plaisir à constater les excellents résultats de notre travail commun. Et je souhaite en faire profiter tous mes collègues. C’est pourquoi nous partageons avec eux qui n’ont pas eu l’occasion de se rendre sur place tous les rapports, mesures, enseignements, photos et vidéos, et parfois aussi quelques spécialités locales. Étant souvent en télétravail ou en déplacement, nous sommes rarement réunis dans le même bureau et devons trouver des moyens de combler la distance de façon numérique pour partager nos connaissances et rester en contact. Cela apporte de la diversité et du challenge à mon travail chez SMA Sunbelt, et me permet de le vivre encore plus intensément.

Wiebke Krüger
Head of Project Management & T/C Service

Un début difficile mais suivit de bonnes perspectives d’avenir

J’ai été ravi de recevoir le prix du « Meilleur apprenti issu de la population réfugiée ». Lorsque j’ai appris la nouvelle au téléphone, je n’ai tout d’abord pas pu y croire. Après tout, plus de 200 apprentis dans toute l’Allemagne avaient posé leur candidature. 

Lorsque je suis arrivé en Allemagne en tant que réfugié il y a quelques années, j’avais de nombreux projets : apprendre un nouveau métier, trouver un emploi, me construire une vie dans un pays que je ne connaissais que de la télévision et d’Internet. Apprendre et travailler étaient pour moi la voie à suivre. J’ai décroché mon diplôme d’études secondaires, puis j’ai postulé pour faire un apprentissage. C’est SMA qui m’en a proposé un. J’ai alors rejoint SMA en tant qu’apprenti électronicien pour les appareils et systèmes. Ça n’a pas été facile au début. J’avais beaucoup de problèmes d’ordre linguistique, surtout à l’école. Ce qui m’a aidé, c’est la formidable solidarité entre les apprentis et au sein de toute l’entreprise ainsi que, bien sûr, les heures de soutien hebdomadaires qui m’ont été proposées. Mon formateur était lui aussi très gentil. Il m’expliquait les termes techniques en s’aidant de ses mains. Il a passé en revue toutes les questions de l’examen avec nous et nous a consacré bien plus de temps que ne l’exigeait sa fonction. Je lui en suis très reconnaissant ! À présent, je suis assez fier de moi et heureux de pouvoir continuer à apprendre et travailler au sein de SMA, car j’ai encore beaucoup de projets.

Hedayatullah Tajik
Developmet Technician 

Un débarquement manqué

En 2002, dans le cadre d’un projet de recherche de l’UE, un système hybride éolien-diesel unique en son genre est inauguré en grande pompe sur l’île grecque de Kythnos Le cœur du système est l'onduleur Sunny Island, développé conjointement par SMA et ISET, qui est sur ce projet mis en œuvre en tant que système triphasé. Il s’agit d’une étape majeure pour l’approvisionnement énergétique des villages éloignés du réseau. Il y a donc tout lieu de se réjouir et d’organiser une fêter, et une délégation nombreuse, comprenant notamment des journalistes, se met en route d’Allemagne pour rejoindre Kythnos. À la tête de la délégation allemande se trouvent le professeur Werner Kleinkauf et Günther Cramer, deux représentants majeurs du photovoltaïque.  

Tout se passe bien : le voyage de Kassel à Francfort, le vol jusqu’à Athènes, même la traversée en ferry du Pirée à Kythnos se déroule comme prévu pour (presque) tout le monde. Cependant, lors de son discours d’inauguration, Günther Cramer n’a d’autre choix que d’improviser un peu, car son texte se trouve sur une île voisine à 50 km de là, entre les mains de mon collègue Michael Wollny et de moi-même. Ce qui s’est passé ? Plongés dans notre conversation au moment où le ferry accoste, nous ne réalisons qu’il est temps de débarquer que lorsque le moteur redémarre et qu’il est déjà trop tard. Déployant tous nos talents de persuasion, nous tentons de convaincre le capitaine de faire demi-tour mais rien n’y fait, et il nous dépose sur l’île suivante, Serifos. Pendant que nous nous remettons de nos émotions en arpentant la plage et plus tard en prenant un repas dans une ravissante taverne, sur l’île voisine, Günther Cramer tient avec brio un discours improvisé et un prêtre orthodoxe grec bénit l’installation. La prouesse technique réalisée est entérinée par une fête d’inauguration extrêmement solennelle et réussie. 

Dans l’après-midi, sur l’île voisine, le capitaine d’humeur joviale nous prend à son bord, Michael et moi. Il nous accueille avec un grand sourire - après tout, nous sommes de vieilles connaissances !

Helmut Aangenvort

La petite différence

Avec une équipe de collègues internationaux, nous étions chargés de l’installation d’un réseau en site isolé sur l’atoll de Reao en Polynésie française, qui se trouve à 1350 kilomètres de Tahiti, au beau milieu de l’Océan Pacifique. Un seul vol hebdomadaire permettait de se rendre sur la petite île, sur laquelle habitent environ 300 personnes qui vivent principalement de la production d’huile de coco et de la pêche. Les groupes électrogènes utilisés pour cette activité étaient bruyants, le carburant cher et les particules émises extrêmement polluantes. Lorsque, après quelques jours de travail, nous avons pu mettre en service le système Sunny Island et arrêter une partie des assourdissants groupes électrogènes, un homme vêtu d’une blouse blanche et portant un stéthoscope autour du cou est venu à notre rencontre. Il s’agissait du médecin de l’île. Il venait directement de son cabinet médical, situé non loin des groupes électrogènes. Il nous a expliqué avec enthousiasme qu’il avait pu, pour la première fois, interpréter correctement les images échographiques d’une femme enceinte qu’il examinait. Auparavant, les vibrations des groupes électrogènes l’avaient toujours empêché de discerner la « petite différence ». Je n’oublierai jamais cette occasion qui m’a été donnée de découvrir au plus près la manière dont l’énergie solaire change la vie des gens.

Jörg Fischmann
Account Manager 

Un foyer d’accueil pour enfants

En 2010, un tremblement de terre dévastateur en Haïti a notamment détruit un hôpital hébergeant un foyer d’accueil pour enfants handicapés. Un groupe de collaborateurs et collaboratrices SMA s’est organisé et s’est rendu à Port-au-Prince pour participer à la construction d’une installation photovoltaïque destinée à un nouveau foyer d’accueil pour enfants, le « Zanmi Beni Home for Children ». Cet établissement devait remplacer le centre d’accueil détruit par le tremblement de terre. Situé à un endroit isolé, il ne disposait pas d’un accès fiable au réseau électrique public.

SMA a collaboré avec NRG Energy, la Clinton Global Initiative et la Solar Electric Light Foundation. Nous avons mis en place une installation photovoltaïque qui a un impact considérable sur le fonctionnement quotidien du foyer, car elle offre aux enfants et aux soignants qui y vivent un accès fiable à une énergie propre, condition essentielle pour une vie meilleure. En tant que père moi-même, j’ai été particulièrement touché par ce projet et je suis fier d’avoir participé à une initiative aussi utile.

Bradley Dore
Director Marketing Department

Les débuts dans un conteneur

Notre premier siège social aux États-Unis n’était pas installé dans le légendaire garage, mais dans un conteneur situé directement en face du garage de l’un de nos collaborateurs américains de l’époque, dans la tranquille ville de Grass Valley, en Californie. Nous étions quelque peu à l’étroit, car nous avions stocké du matériel jusque dans les moindres recoins du conteneur, afin d’avoir sous la main tout ce dont nous aurions besoin pour la première mise en service.

Toutefois, la procédure d’homologation par l’importante autorité de certification Underwriters Laboratory (UL) tardant à aboutir, une bonne année s’est écoulée avant que nous puissions installer les premiers appareils. La protection anti-incendie était au centre des préoccupations de l’autorité, car la plupart des maisons étant construites en bois aux États-Unis, le feu représente évidemment un danger particulièrement important. Après de longues discussions et grâce à notre expérience et à notre expertise, nous sommes finalement parvenus à convaincre l’UL de la sécurité des installations photovoltaïques équipées de nos onduleurs. Dès cette époque, notre partenariat étroit avec l’UL nous a rendu de grands services, et nous continuons de l’entretenir et de l’approfondir encore aujourd’hui. Nous participons activement à l’élaboration des normes pour le marché américain depuis de nombreuses années. Aujourd’hui, grâce à notre laboratoire d’essai accrédité UL en Allemagne, nous n’avons plus besoin de nous rendre aux États-Unis pour tester nos solutions. 

Les exploitants d’installations photovoltaïques américains plébiscitèrent le Sunny Boy allemand : grâce à une production énergétique supérieure de 36 % à celle de ses concurrents américains de l’époque, il fit l’unanimité !

Sven Bremicker
Head of Technology Development Center

« Cramer contre Kremer » – un débat légendaire

Des étincelles (verbales) volaient ! Je me souviens comme si c’était hier de cette discussion légendaire qui s’est déroulée au centre de formation de l’Abbaye de Banz lors du symposium annuel sur le photovoltaïque. Le fondateur de la société SMA, Günther Cramer, rencontrait Peter Kremer, directeur de division chez Siemens. Nous étions à la fin des années 1990, et ces deux poids-lourds du photovoltaïque débattaient avec passion de la configuration future des installations photovoltaïques devant un large public d’experts. Günther Cramer argumentait en faveur des installations photovoltaïques avec une architecture décentralisée et l’utilisation d’onduleurs string, tandis que Peter Kremer plaidait avec véhémence pour des solutions centralisées avec onduleur central. Point de départ du débat : les mérites respectifs de l’installation photovoltaïque de l’académie de formation de Herne, comportant environ 600 Sunny Boy de SMA, et de celle de la foire de Munich, composée d’un onduleur central.

Un véritable conflit sur les fondamentaux a éclaté entre Cramer et Kremer. Fidèle à lui-même, le chef de notre entreprise a défendu sa position avec passion et de façon absolument convaincante. Après tout, il était réputé pour sa inspirer les gens avec ses idées. Et il semblerait qu’il y soit également parvenu lors de ce mémorable tour de table, car j’ai entendu de nombreuses personnes faire référence à cette discussion, devenue légendaire dans notre secteur d’activités, lors de conversations ultérieures. Au demeurant, la question de savoir si une architecture centralisée ou décentralisée est préférable n’est plus sujette à controverse depuis de nombreuses années. La conception des centrales photovoltaïques est aujourd’hui déterminée sur la base de nombreux facteurs. Et SMA propose depuis longtemps des solutions pérennes pour les deux modèles.

Bernd Engel

Face au volcan

A droite, la mer et à gauche, un volcan entouré de nuages à l’arrière-plan. La vue depuis la centrale photovoltaïque de Kagoshima est époustouflante, et pose d’énormes défis pour tous les composants. 

Il y a huit ans, nous avons construit et mis en service ce qui était alors la plus grande centrale photovoltaïque du Japon sur un port sec. Je ne connais aucune autre centrale qui ait eu à braver autant les forces de la nature : chaleur, air marin chargé de sel, tempêtes et foudre, plus d’un onduleur n’y résisterait pas. 

Outre le panorama extraordinaire et les conditions ambiantes hors normes, j’ai également été fasciné par l’incroyable niveau d’exigence des Japonais en matière d’esthétique. Les panneaux solaires étaient si bien alignés que l’on aurait pu tirer une flèche le long de leur bord extérieur. 

Il va sans dire que nous avons également été attentifs au moindre détail lors de l’installation des onduleurs. Mais il y a eu un bref moment de panique lors de la mise en place des tableaux de répartition : le client estimait que quelque chose n’allait pas. Le ciel nous tombait sur la tête. Mais c’était vrai : les logos SMA n’étaient pas fixés exactement au même endroit sur tous les boîtiers ! Quelques rectifications mineures nous ont permis de rétablir l’harmonie entre fonctionnement et esthétique. Au final, les exploitants japonais de la centrale n’ont pas seulement été satisfaits, mais ils ont été enthousiasmés par les performances de la centrale photovoltaïque, dont la production d’énergie solaire dépassait de 30 % les prévisions établies lors de la conception. Un projet commun formidable, fruit de l’excellent travail d’équipe de collaborateurs/collaboratrices de SMA en Allemagne, au Japon, en Corée, en Thaïlande et en Inde.

Josef Helweg
Head of Global Service Operations APAPC

Un selfie avec célébrité

En 2016, mon collègue Mathias et moi-même sommes partis en Asie du Sud-Est. Notre destination : l’île philippine de Luzon. La centrale photovoltaïque de Catalagan, à l’époque l’une des plus grandes au monde équipée d’onduleurs string, devait être raccordée au réseau électrique public. Les énergies renouvelables étaient en plein essor aux Philippines et nous étions ravis d’être là pour prêter main forte lors de la mise en service de parc photovoltaïque. 

Le voyage a duré 30 heures au total, dont cinq passées sur des pistes cahoteuses dans l’intérieur du pays. Cette aventure harassante n’a pas tout à fait pris fin avec la mise en service réussie du gigantesque parc photovoltaïque. Car juste avant de prendre le chemin du retour, nous avons rencontré l’étoile montante du secteur des énergies renouvelables aux Philippines : Leandro Leviste, alors âgé de 23 ans. Visiblement satisfait de sa nouvelle centrale photovoltaïque, il a volontiers accepté de poser pour une photo avec nous.

Andreas Hoefer
Service Training Quality & Performance Professional

Convaincus par le « Made in Germany »

Notre bureau SMA temporaire à Tokyo était plutôt exigu. Huit collègues s’y pressaient autour d’une grande table. Nous étions pendus au téléphone du matin au soir, à contacter des clients potentiels pour leur présenter la marque d’onduleurs SMA, parfaitement inconnue sur le marché japonais à l’époque. Le défi était de taille dans un pays technologiquement à la pointe et qui produisait ses propres marques, toutes renommées dans le monde entier. Mais les produits et les solutions « Made in Germany » ont réussi à convaincre mes compatriotes, très regardants sur la qualité.

En 2011, je voulais travailler dans un secteur œuvrant à l’approvisionnement énergétique propre de l’avenir et offrant des perspectives à l’humanité. C’est pour cela que j’ai rejoint SMA - et je suis très heureux de notre réussite. SMA a pris pied au Japon. Nous comptons aujourd’hui 50 collaborateurs talentueux, disposons de locaux nettement plus grands et nos perspectives d’avenir sont excellentes.

Masafumi (Massi) Kawakami
Head of GSO

Un bel accueil au sein de SMA

C’est un stage qui m’a conduit chez SMA au cours de l’été 2000. Je venais d’arriver en Allemagne, il s’agissait de mon tout premier poste et mon allemand n’était malheureusement pas encore très bon. J’étais très nerveux et je manquais un peu de confiance en moi, mais j’ai immédiatement été emballé par l’atmosphère familiale qui régnait chez SMA. J’ai été fasciné par l’ouverture d’esprit de mes collègues, la facilité de communication et les échanges décontractés avec les développeurs. C'est incroyable tout ce que j'ai pu apprendre.  

Le grand boom de l’industrie solaire était encore à venir, et je me souviens très bien du verre que nous avons pris ensemble pour fêter la production de 3 000 onduleurs en seulement un mois. Peu de temps après, SMA en produisait autant chaque jour. 

Je n’oublierai jamais cette ambiance des débuts du photovoltaïque. Et bien que beaucoup de choses aient changé, l’esprit SMA est toujours le même, à savoir cette formidable culture d’entreprise et la cohésion entre collègues. Aujourd’hui encore, c’est pour moi quelque chose de très spécial.

Astrit Rraci
Global Costumer Quality Monitoring

Mégawatt ou gigawatt ?

Juste après la création de SMA Amérique du Sud, j’ai discuté du marché de l’énergie au Chili avec un développeur de projets mondiaux lors d’un rendez-vous. Lorsque j’ai expliqué à mon interlocuteur que la puissance photovoltaïque installée dans le pays ne s’élevait qu’à 3 MW, il m’a répondu : « Oui, bien sûr, il est bon de savoir que le Chili a une capacité photovoltaïque de 3 GW ! ». Il ne comprenait absolument pas qu'il se trompait d'un facteur 1 000 et que le chiffre n'était en réalité que de 3 MW - juste assez pour alimenter 7 500 foyers.  

Lorsque SMA s’est établie au Chili en 2012, une poignée seulement d’entreprises réalisaient des projets solaires. Certaines d’entre elles continuaient même à faire pression sur les autorités pour pouvoir développer des projets de charbon. D’autres pensaient que l’énergie nucléaire était la solution. Cela semble insensé, compte tenu des conséquences qu’elle pourrait avoir dans un pays sujet aux tremblements de terre comme le Chili.

Je suis heureux d’être de ceux qui contribuent à établir l’énergie solaire en Amérique du Sud. Et les perspectives s’améliorent sans cesse ! À ce jour, la puissance installée en Amérique du Sud utilisant la technologie SMA atteint à elle seule 3 GW – assez pour alimenter 3 millions de foyers !

Daniel Rosende
General Manager SMA Süd Amerika (SMA South America)

Une grande occasion pour un petit boîtier mural

Le jour de la Saint-Nicolas en 2019, avec tous les collègues impliqués et les développeurs externes de la société Ninjaneers, nous avons trinqué à la réussite du test de charge avec l’EV Charger. C’était la première fois qu’une voiture électrique était rechargée sous une toiture solaire à l’aide du SMA EV Charger, et que l’on faisait donc le plein avec de l’énergie solaire. Nous étions aux anges que notre innovation ait fonctionné. Et pouvoir fêter ensemble l’aboutissement de notre travail commun a été particulièrement agréable, même s’il faisait vraiment froid en ce jour de décembre. Il ne reste plus qu’à développer de manière conséquente l’infrastructure de recharge en Allemagne, et nous pourrons bientôt tous connaître les joies de la conduite sans émission de CO₂. 

Lisa Spangenberg
Product Managerin Charging Solutions